Transferts d’argents des résidents à l’étranger après la crise

La baisse des transferts d’argents des marocains résidents à l’étranger

[1] (II-3 )

La revue de presse actuelle a été riche en informatique intéressantes en ce qui concerne l’économie marocaine et l’impact de l’actuelle crise financière internationale sur elle, les premiers indices commencent à apparaitre petit, la baisse des transferts d’argent des Marocains résident à l’étranger (MRE) sera l’un des tout premiers indices de cette crise sur l’économie marocaine, selon l’office des changes qui vient de publier sa note mensuelle des indicateurs de commerce international du Royaume , ces transferts se sont élevés en 2008 à 53 ,65 milliards de Dirhams , une baisse assez faible mais qui risque d’augmenter considérablement dans les mois avenir , puisque selon plusieurs observateurs syndicalistes européens , les premiers salaires à être remercie lors d’un processus de réduction de masse salariale dans les entreprises européennes , c’est des immigrés.

[1] www.actualitééconomiquedumaroc.com

A Rabat le ministre de l’économie et des finances, M Salaheddine Mazouar, a affirmeriez que son département a pris une série de mesures en vue de limiter les effets négatifs de la crise économique internationale sur le secteur financier marocain.

En réponse à une question orale à la chambre des conseillers, M. Mezouar a précisé que ces mesures visent à orienter les effets vers l’investissement intérieur, améliorer le pouvoir d’achat, stimuler la demande intérieur, soutenir les PME (petits et moyennes entreprises) et les exportations.

Le marché financier marocain n’a pas affecté directement par la crise internationale en raison de sa solidité, de la disponibilité des réserves de change, et la non acquisition par ses institutions financiers de titres hypothécaires, a ajouté M .Mezouar dans cette réponse lue son nom par le ministre du tourisme et de l’artisanat M .Mohamed Boussaid .

Transferts d'argents En raison du développement du marché national des capitaux (bourse et bons de trésor), la dépendance du Maroc vis-à-vis des marchés mondiaux « reste faible » , a-t-il souligné ,ajoutant que cette situation a permis de limiter l’impact de la crise actuelle sur le Royaume en comparaison avec d’autres pays.

Concernant les répercussions de la crise sur la bourse des valeurs de Casablanca. M .Mezouar a déclaré que l’éventualité d’un retrait des capitaux extérieur de la bourse « reste faible » , le taux du flottant  détenu par les non résidents ne dépassant pas 1,8% en 2007 , un taux qui reste faible pour constituer un danger à la spéculation .

Evoquant l’impact de la crise sur les banques, M. Mezouar a rappelé que les transaction des banques marocains avec l’extérieur sont évaluées à la fin d’Octobre à 8 milliards de Dirhams, soit 1,51% des avoirs des banques, ajoutant que c’est pour cette raison que les établissements bancaires ne recourent pas au financement extérieur que de manière limitée.

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